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ROCDKP |
Éros est décapé
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LIOCICFXCOVQ | Hêlios est hissé et fixé au vécu, | ||||||||
SILOKOLACDIT | Et ciel au chaos héla ses déités, | ||||||||
LÉQÈCDLYLOG | Et l’écu est cédé et lit grec est logé. | ||||||||
ROZLIKRLNAMU | Air osé délicat, - ère hellène a ému... | ||||||||
OTCODTSHRMAC | Ôter ses hauts d'été et sa chair est massée, | ||||||||
LEDVBCNRÈLNU | Elle dévêt baissée aine et raie, elle est nue | ||||||||
LOVLHÉLNAFSU | Et lovée et lâchée Helena est fessue, | ||||||||
BABZOPROQRIT | Béat baiser dopé erre au cul hérité. | ||||||||
SOTNRJQZLAJT | Et sauter énergique, user d’elle agité | ||||||||
RIVRODNERÈDO | Et rivé et rodé et noeud est raide et haut, | ||||||||
AQSAKDLMAKOT | Accu est saccadé elle aime à cahoter. | ||||||||
AFSRIGMILLAP | Ah ! Et fesse érigée et miel est lapé. | ||||||||
ÉHAUCCLAQZMO | Et à chahut cessé elle accusait des maux | ||||||||
RSITAVLHUTAP | Et récitait « Ave » - et là chutait, happée. | ||||||||
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Il est indéniable que ce sonnet d'alexandrins est assez torride,
mais peut-être est -il également poétique, non ?
Est-ce l'existence de la lettre
« Q » dans l'alphabet ou celle du
« Y » à la forme évocatrice
qui incitent à cette écriture ? C'est possible, mais loin d'être une facilité
ceci devient plutôt une contrainte supplémentaire !
Et dans ce cas précis je crois qu'on peut parler de
« fines épellations »...
Et puis, comme si le côté leste de ce poème ne suffisait pas, on peut
remarquer au dernier hémistiche une contrepèterie à double solution.
Est-ce bien sérieux ?
Les vers auxquels vous avez échappé pour ce sonnet
Phornogramme
(à décoder soi-même)
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